Voili,voulou c'est la suite et faim de ce
roman résumé
J'espère que cela vous plaira car, pour moi, cela compte plus que tout les +1 du monde!!!!
Allé, A demain!!!!
Ps: merci, Kareen, pour les crêpes!!!!!!!!!!!!!!!!!
Chapitre 3: Un ours affamé c'est un cheval éventré.Le sang. L'odeur du sang et des entrailles au petit matin retournerais bien des estomac. Mais pas celui de Barnabé, l'ours. Barnabé a faim et rien ne pourrait lui faire sortir cette idée de la tête. C'est pour cette raison que le cousin Valdemar et Gottfried se retrouve les mains ensanglantées, de la tripaille plein les mains, pataugeant joyeusement dans le ventre d'un cheval. On découpe, on dépèce, on écorche et on donne une cuisse à l'ours qui en grogne de satisfaction.
A peine le temps de préparer les affaires ainsi qu'un feu pour préparer un peu de bifteck de cheval, que le groupe se trouve dérangé par l'apparition d'un (autre) ours sauvage affamé, attiré par l'odeur de cadavre et de viande rôtie.
C'est donc une nouvelle fois que le groupe reprend la route. Le voyage n'en fini pas, la fatigue se fait de plus en plus pesante, de plus en plus pénible à supporter. L'elfe tente, tant bien que mal, de se reposer sur son cheval: sans grand succès. La journée se passe sans grand événement que la rencontre avec un étrange individu fumant la pipe avec qui ils échangent quelques mots.
Et c'est avec un soulagement à peine dissimulé que ces aventuriers arrive en vue d'une auberge accueillante, où ils espèrent bien pouvoir se restaurer, se laver et prendre du repos.
L'idée de se retrouver dans un lit confortable, au chaud, avec un bon bol de soupe dans une auberge pleine d'humains n'enchantant pas Fargoth, celui-ci décide de passer sa nuit au sommet d'un jeune chêne qui borde la forêt. Il s'installe difficilement mais s'endort bien vite, gagné par la fatigue accumulée après une journée de chasse, une nuit blanche et une journée de voyage à cheval.
Un bain et dîner plus tard, Gottfried se repose. Tenant précieusement le coffre confié par son maître pendant que monsieur Rudiger prend son bain à l'extérieur en compagnie de dame Théodora. Il somnole, exténué. Soudain, il se redresse, horrifié, comme s'il avait vu un fantôme. Il se lève et se dirige lentement vers la porte. Pâle comme la mort, il annonce à Rudiger:
« Je suis fatigué, je pense que je vais aller me coucher »
« Très bien, dépose le coffre dans ma chambre »
Il monte et s'avance vers la porte mais constate qu'il ne possède pas la clef. Qu'importe, il se rend à sa chambre, le coffre sous le bras. Un cliquetis plus tard , la porte est verrouillée.
Plus tard, Rudiger retourne à sa chambre, l'air ravi, après avoir passé une agréable soirée en galante compagnie.
Il sort de sa poche , l'UNIQUE clef de sa chambre, déverrouille et entre . Quelle ne fut pas sa surprise lorsque qu'il constata que le coffre ne s'y trouvait pas.
Chapitre 4: Seul contre tous Des coups. Des coups répétitifs, prononcés, appuyés. Puis, le silence. Gottfried repose son épée au sol ainsi que le cadenas dont il vient de venir à bout. Fébrile et terrifié, il soulève doucement le couvercle et regarde à l'intérieur.
Une boule, une boule de pierre grise, lisse, légèrement craquelée repose sur un petit coussin de satin épousant parfaitement le fond du coffre. Intrigué, il décide de s'en emparer et, voyant qu'il ne se passe rien, commence à l'examiner. Soudain, on frappe à la porte.
« Gottfried, tu es là ? Tu as le coffre ? »
« Une seconde, j’arrive !!!» répond le régisseur paniqué, tout en tentant de trouver désespérément une cachette. Il décide finalement de le dissimuler sous d’épaisses couvertures dans l’armoire.
La porte s’entrouvre et laisse apparaitre le visage blafard et suant de Gottfried.
« Tout va bien ? Où se trouve le coffre ? »
« Ah, parlons-en du coffre ! Entrez, monsieur.»
Rudiger a à peine le temps de rentrer qu’il constate le cadenas cassé au sol puis Gottfried envoie par terre le coffre qui s’ouvre, brutalement sous le choc. Il est vide.
« J’ai ouvert le coffre. Oui, j’ai désobéi, j’en suis désolé mais je voulais savoir pourquoi nous nous battions, pourquoi nous avons failli mourir alors que Monsieur votre père est en danger !!!! »
Attirés par les cris, Théa et Valdemar rejoigne la chambre et ne peuvent que constater.
« Jure-nous que ce coffre était vide. »demande Théa, plongeant son regard de prédatrice dans les yeux de l’intendant.
L’intendant, trop fier pour admettre sa terreur, n’accepte pas de se rétracter :
« Absolument, je l’ai ouvert et il était vide. Je ne sais pas ce que mon maître voulait que nous fassions. Peut-être lui-même ne savais pas ce que contenait ce coffre. (en s’’adressant à Rudiger) Je vous en conjure, rentrons pour nous assurer que Monsieur votre père va bien, Monsieur votre frère est prêt à tout. Laissons de côté ce coffre vide. »
« Vous mentez !! »
Pendant ce temps, Valdemar fouille consciencieusement la pièce ; passant en revue tout les détails. Mais lorsqu’il entreprend d’ouvrir l’armoire, Gottfried, perdant complètement ses moyens face aux nombreux regards accusateurs portés sur lui, s’énerve et repousse Valdemar:
« Sortez ! Vous n’avez rien à faire ici! Cela ne concerne que Monsieur Rudiger et moi-même !!! »
S’ensuit une situation périlleuse et explosive où Théa se demande s’il faut vraiment laisser la vie à cet imposteur. Mais Rudiger calme rapidement la situation en annonçant qu’il vaut mieux régler cette affaire plus tard après s’être reposé. Tous accepte et quitte la chambre, non sans avoir jeté un dernier regard plein de mépris à l’intendant.
« Bonne nuit Gottfried.» ajoute Rudiger, avant de quitter à son tour la chambre.
Gottfried se retrouve seul avec lui-même, se demandant si son choix est vraiment le bon. Il sort une dernière fois la mystérieuse sphère et décide de la placer sur l’armoire. Si quelqu’un d’autre que lui venait à la découvrir, les conséquences pourraient être catastrophiques.
Chapitre 5 : Mensonge, trahison et mauvaise nouvelle (eh ben)
Au petit matin, un elfe tombe lourdement de son arbre.
Gottfried descend les escaliers afin de rejoindre les autres pour le petit déjeuner. L’esprit encore embrumé par d’affreux cauchemars, il se demande dans quel état d’esprit se trouvent ses compagnons vis-à-vis de lui après leur dispute d’hier soir.
Il les trouve tous autour d’une table.
« Ah ! Te voilà Gottfried ! »s’exclame Théa en le voyant, « Viens, assied toi et mange un peu, tu en aura besoin ! »
Bienheureux que le dialogue puisse être rétabli il s’assoie, commence à manger et à discuter sans s’apercevoir que Rudiger s’était déjà levé et se glisse à l’étage.
Soudain, on attend un fracas. Gottfried réalise tout de suite que la porte de sa chambre vient d’être défoncée. Il tente de se relever, paniqué, mais Théa et Valdemar le saisissent brutalement et l’asseye de force.
« Boit ton lait. » dit simplement Théa.
Gottfried se met à se débattre et, s’apercevant que c’était peine perdu, à paniquer :
« LAISSER MOI PARTIR !! IL FAUT QUE JE MONTE…LACHOSE…LA HAUT….C’EST DANGEREUX !!!... »
« Un problème ? » demande l’aubergiste en sortant une épée, l’air menaçant.
« AU SECOURS ! AIDEZ-MOI A ME LIBERER !..... CES GENS ESSAYENT DE ME VOLER !!! »
En entendant, ces mots Théa et Valdemar relâche leur prise. Théa est rouge de colère. Gottfried en profite pour s’échapper à l’étage, réalisant soudain qu’il est allé trop loin cette fois-ci, mais pour lui c’est un cas de force majeur.
« COMMENT OSE-T-IL NOUS INSULTER !!!!!? NOUS AVONS ETE CHARGER DE LE PROTEGER ET CE FILS DE CHIEN NOUS MENT ET NOUS INSULTE DE SURCROIT !!!!!! JE VAIS ME…TE…LE …. »
Les cris et la rage de Théa et de Valdemar s’éloigne tandis que Gottfried rejoint sa chambre, suant toute les gouttes de son corps. Pendant ce temps, Valdemar et Théa prennent la suite de celui qu’ils appellent maintenant « le sale vilain de félon de gredin des basses-fosses ».
Au moment où Gottfried arrive, il est déjà trop tard. Debout sur la table, au milieu d’une chambre aux meubles retournés, Rudiger contemple l’objet du mensonge de l’homme envers lequel il avait le plus confiance. N’écoutant pas les supplications et les excuses de son protecteur, il s’empare du coussin, le globe reposant dessus. Il se retourne et le place doucement dans le coffre avant de le refermer.
« Je ne veux aucun commentaires. Il est inutile d’en dire plus. »
« Je suis désolé, Monsieur,… il le fallait….cette chose….cette chose est maléfique…je ne voulais pas qu’elle vous atteigne….je ne voulais pas vous mentir…..nous n’aurions eu que des ennuis avec ce coffre….je veux préserver votre honneur et votre vie….laissons cette chose en arrière, je vous en prie »sanglotte Gottfried.
Pendant ce temps, l’elfe, rétabli de sa lourde chute aperçoit un inquiétant spectacle. Un nuage de poussière approche de l’auberge.
« DES HOMMES EN ARMES ARRIVENT !!! » hurle-t-il pour prévenir ses compagnons à l’intérieur.
Alerté par cela, le petit groupe regarde par la fenêtre et identifie des cavaliers, des gardes portant le blason de la famille Rosencrantz.
Les gardes mettent pied à terre et entre dans l’auberge. Sauf un garde resté à l’écart qui, apercevant l’elfe, commence à avancer vers lui, lame sortie. Mal lui en a pris, car il se retrouve bien vite cloué à la porte de l’auberge, une flèche elfique entre les yeux.
Pendant ce temps, c’est la consternation. Le commandant du groupe de gardes annonce sombrement à Rudiger que son père, le seigneur Siegfried Rosencrantz, viens de mourir de manière plus que suspecte. Ils ont dû s’enfuir afin de le lui annoncer car ils ont refusé de prêter allégeance au nouveau seigneur du domaine, Dieter Rosencrantz. Après une sobre cérémonie de recueillement où les gardes rendirent l’épée de Siegfried en signe d’adieu, les gardes repartent.
« ALERTE !! NOUS SOMMES ATTAQUES !!!! » s’écrient les gardent en découvrant le cadavre accroché à la porte.
Rudiger s’empresse de donner ses directives :
« Restez là, barricadez toutes les issus !! Nous passons par l’arrière ! Cette flèche appartient à un elfe qui à fait la route avec nous, c’était un traître !!! Méfiez-vous il est dangereux !! Nous vous préviendrons pour que vous puissiez nous couvrir !! »
L’elfe observe la scène. Le groupe, qui l’avait précédemment accueilli, prenant la poudre d’escampette, Barnabé sur leurs talons. Théa l’apercevant et s’écriant à l’adresse des gardes :
« IL EST LA !!! IL EST LA !!! COUVREZ NOUS !!! »
Les gardes se précipitent alors, et prennent Fargoth en chasse dans la forêt, le groupe s’éloignant déjà à vive allure. (C’est ainsi que les ennuis vont commencer).
Bien plus tard, le groupe prend un peu de repos et l’on en vient aux explications. Valdemar va soutenir Rudiger après l’écrasante nouvelle de la mort de son père, Gottfried discute avec Théa de l’attitude honteuse et odieuse qu’il a eue envers tous le monde. Des excuses sont données, des larmes sont versées et notre groupe, en marche vers une réconciliation future, reprend péniblement sa route vers de nouvelles aventures.