Campagne : Warhammer

Résumé de l'Épisode 1

Citation :

Regardes, là......
Là, c'est où ça commence.
Là, tu vois ce petit hameau sobre avec ces maisonnées entourées de fermes et ces quelques bois?
Et puis ici, en haut de la petite colline, on voit la jolie blondinette qui arrive. Elle a de jolis yeux mauves, mais à l'air épuisée par une longue route. Mais le plus surprenant, c'est l'ours qui l'accompagne, tenu en laisse, et seul héritage restant d'une famille décimée.
Il n'y a plus de troupe, la meute a disparue. L'ours suit désormais "celle qui a la voix haute". Elle lui donne toujours quelque chose quand il fait semblant d'être méchant ou quand il bouge en dansant, alors il la suit.

"Celle qui a la voix haute" se dirige vers une petite baraque mal entretenue.
Vois qui vit ici.
Le cousin de la blondinette. Théodora qu'elle se nomme. Théa qu'on l'appelle.
Lui, c'est le "fils indigne" de la troupe. Celui qui n'a pas suivit une vie d'artiste. Celui qui a déçu les pères.
Si tu le regardes bien, tu vois à ses cicatrices, à son corps musclé, à son regard que lui, il a suivit la voie des armes.
Lui, il a décidé de se reposer un peu dans ce joli village.
Et il est tout surpris de voir la cousine débarquer seule, enfin presque seule. Un bon gros presque, vue la taille de l'ours!!
Tout les deux parlent, et aprés les larmes, finalement, le guerrier Valdemar va devoir s'habituer à une nouvelle présence féminine chez lui.
Et qu'on se le dise, jamais jardin ne fut si tranquille.....
C'est pas tous les jours qu'un ours veille sur le vieux pommier!!!



La belle demeure, au bout du village, tu la vois aussi?
C'est celle d'un ancien héros dit-on.
Il a deux fils cet ancien courageux et intrépide, mais sa douce est morte en couche aprés le second.
Alors là, celui qui ne dit presque jamais rien, qui est brun aux yeux bleus, et qui a cette énorme balafre sur le visage, c'est le plus jeune. Rudiger est son nom.
Quand il te parle, tu comprends vite qu'il se sent mal aimé chez lui. Même que c'est son propre frêre qui lui a fait tel affront sur son visage, lors d'un duel d'entrainement....
On sent bien que c'est tendu dans cette demeure!
L'autre, le bellâtre brun, impeccablement coiffé, taillé comme un Dieu, c'est Dieter. Mais quand tu le regarde dans les yeux, tu vois la soif de pouvoir et le mal qui le ronge!
Et enfin, plus discret, il y a l'intendant de tout cela. De lui, on voit une superbe moustache et un regard pétillant, bien que parfois vacillant, tel les yeux de celui qui a connu l'amour et l'a laissé échapper.




Bon, tu me diras, tu t'en fiche des personnages hein.
Alors passons à l'histoire.

Dans la grande demeure, tu vois, il y a deux beaux elfes qui sont venus.
Ils ont l'air préoccupés, mais fort heureusement, ils sont trés patients.
En effet, une fois leur arrivée annoncée, tout le monde dans la demeure croit que quelqu'un les a reçu.
Les humains communiquent mal.
Personne ne les reçoit.
Sauf un pauvre valet qui n'en finit plus de s'excuser.....
Finalement, aprés une bonne heure d'attente, et un protocole qui n'en finit plus, les elfes arrivent enfin à s'exprimer.
Il y a semble t il, une invasion de peaux vertes anormale dans la région. Suffisamment inquiétante et suffisamment nombreux pour qu'on puisse soupçonner des humains de les avoir aidés à arriver jusqu'en ces terres protégées par l'Empire.
Les elfes ont mis en garde une fois de plus les humains. A eux maintenant de jouer.

L'ancien héros convoque finalement ses deux fils et son intendant.
Écoutes la conversation....
Un des fils doit se porter volontaire pour aller quérir l'aide d'un ami de l'ancien vaillant pour cette histoire de peaux vertes. Un autre ancien vaillant surement.
Le plus jeune fils se porte volontaire, bon débarras selon l'autre bellâtre!
Et l'intendant devra se porter garant de la vie du plus jeune fils.
Mais avant de quitter la pièce, le père donne au jeune un coffret "trés spécial" qu'il ne devra ouvrir sous aucun prétexte et ce qui est dedans restera dedans et ne sera que pour l'autre ancien.
Tu as deviné juste!
Cela attise la jalousie et la curiosité!
Le voyage commencera demain matin, et il faudra être discrets!
Et plus aussi.

Ce matin là, tu vois, le jeune fils et l'intendant viennent demander de l'aide à l'ancien guerrier et du coup, à sa cousine.
Les deux acceptent de bon coeur.
Il faut avouer que depuis quelques jours, l'ours voyait bien que quand on lui donnait des pommes, on les regardait avec envie. Mais il ne s'en est pas inquiété et il a bien raison: qui ôterait la pomme de la gueule de l'ours??


Le groupe s'est mis en marche, à la va vite. Seul le jeune fils, avec le coffret, connait la destination.
Ils font doucement connaissance.
Parfois en parlant un peu, sous le regard inquisiteur du cousin veillant sur sa cousine, parfois juste avec des regards que personne ne voit.

Ils arrivent à la première auberge et mangent.
Regardes!!
Les ombres des hommes armés qui attendent.
Le second fils attaque!
Il a quelques hommes de mains avec lui et ils mettent le feu à l'auberge!
Des combats commencent.
Le jeune seigneur en premier, car il est la cible et a le coffret.
L'intendant vient à son secours.
Puis le spadassin.
Dehors, la montreuse d'ours aussi se bat.
Certains arrivent à s'éloigner du combat. Le jeune seigneur et la donzelle blessée.
Le méchant bellâtre affronte alors le spadassin, le blessant gravement, et laisse l'intendant pour mort, pensant l'avoir égorgé.
Puis il repart, amusé de cette chasse qui commence, devant l'auberge qui flambe et le feu qui tue autant d'innocents!

Le petit groupe se retrouve, tous blessés et effrayés dans la nuit.

Regardes enfin ce que Dieter fait en rentrant chez lui:
Il prends place sur la chaise de son père, et quand l'ancien valeureux viens lui demander des comptes, il sort son mousquet et BANG!
Puis il achève le vieux, son propre père, à coups de dague.
Mais ça, eux, les gentils, les bienveillants, ils ne le savent pas.

Crois moi, ce petit groupe n'a pas finit de devoir fuir!

Résumé de l'Épisode 2

Citation :

Boule de pierre et elfe des bois (et bonne année grand-mère!)

Chapitre 1 : Un nouveau personnage se met en chasse

Un étrange individu attend. Derrière lui, les braises s’éteignent peu à peu sous les seaux d’eau des quelques braves gens venus porter secours à l’auberge en flamme. Il porte habits de voyage et chapeau rapiécé dont la plume remue doucement au grès de la fine brise et de la chaleur du foyer. Assis sur un tonneau épargné par les flammes, il observe. En fait, un curieux spectacle se déroule devant lui tandis qu’il tire de larges bouffées de sa longue et fine pipe en bois.

Un elfe est en grande discussion avec le tenancier de l’auberge, un Halfelin fort secoué par la perte de son gagne pain. L’elfe semble chercher quelque chose, ou quelqu’un. Equipé pour la chasse, son épaule laisse dépasser un long arc précieux luisant légèrement à la lumière du feu.

« Auriez-vous vu quatre individus accompagné par un ours ? Je veux savoir où ils sont partis. » s’écrit l’elfe.
« Mon auberge a brulé, j’ai tout perdu ! J’aurais dû les écouter, j’aurais du rester au Moot ! Maintenant, il va falloir reconstruire ! Mais que faire sans argent ? Une auberge reconstruite sur les cendres de la précédente : Pensez-vous que cela pourrait attirer du monde ? » déclare l’Halfelin, parvenant à peine à conserver son souffle et ses larmes.
« Là n’est pas la question ! Un groupe avec un ours dans votre auberge, cela doit bien se remarquer ! Alors ?! Les avez-vous vu et par où sont-ils partis ? » s’impatiente l’elfe.
« De quelle couleur l’ours ? Noir ou brun ?»
« Quelle importance ? Brun ! »
« Ho ça m’est égal, je ne me souviens pas de la couleur. Vous me parlez d’un ours alors que je viens de perdre mon auberge ! Vous ne voudriez pas m’aider à la reconstruire ? Je suis pauvre et un coup de main ne serait pas de refus ! »
« D’ailleurs qu’est-il arrivé à votre auberge ?»
« Elle a brulée. Cela ne se voit pas ? »
« Oui, mais par quoi ? »
« Par le feu »
« Oui mais qui est responsable de ce feu ? »
« Une torche »
…
Le dialogue ne s’en fini pas et l’elfe, perdant patience, s’adresse à l’étranger.
« Oui, je les ai vu. » répond calmement l’inconnu, « Ils sont partis le long de cette route après avoir écopé de lourdes blessures suites à leur combat contre les mercenaires qui ont brûlé l’auberge afin de les débusquer. Ils ne doivent pas être bien loin.»

Le soupçon de malice dans sa voix ainsi que l’air inquiétant d’un homme qui en sait plus que ce que l’on peut imaginer ont vite fait de mettre mal à l’aise l’elfe qui presse le pas pour s’engager sur la bordure de la route.
Les trouver, les accompagner, les observer et revenir pour raconter, voilà la mission qui lui a été confié.

Chapitre 2 : Une nuit agitée

La douleur, l’épuisement, le tout mêlé à une odeur de sueur, de chair et de sang. La nuit, l’obscurité ambiante rend la progression encore plus difficile et la fatigue devient d’autant plus forte. Quatre aventuriers viennent d’échapper de justesse à un bien sinistre sort mais au bonheur d’être en vie se mêle l’amertume d’être affaibli, blessé, meurtri.

« Il faut s’arrêter, organiser un campement de fortune à l’orée du bois. Nous devons nous reposer, il fait bien trop noir pour soigner nos blessures ; on ne peut que tenter de les panser. Allumons tout de même un petit feu»

C’est par la force des choses qu’ils entreprirent de se trouver un endroit pour s’allonger : certains s’installent au creux d’un rocher ou d’un arbre; d’autres, à même le sol, dur et rocailleux. Tous parviennent à s’endormir malgré tout.
La nuit est calme, silencieuse. Un bruissement, un craquement ; quelqu’un s’approche, tentant de se dissimuler derrière les arbres. Soudain, un cri.

« Qui va là ?! Montrez-vous ! »

L’intendant Gottfried s’élance, l’épée au clair, vers l’arbre d’où il lui semble avoir aperçu une ombre furtive. Il tente de le contourner. L’intrus, s’apercevant qu’il est découvert, tente de fuir dans l’obscurité, Gottfried sur ses talons. Il part se dissimuler derrière un buisson proche puis entreprend de grimper à l’arbre. L’intendant le rejoint et, une empoignade plus tard, l’inconnu se retrouve plaqué à l’écorce, une lame luisant sous sa gorge.

« Qui es-tu ? Ne m’oblige pas à répéter la question. »

Rudiger, le noble, accourt et distingue, dans le noir, deux oreilles pointu dépassant de cheveux courts en broussaille.

« Je m’appelle Fargoth, je suis envoyé pour vous accompagner et vous assister, je suivais votre trace depuis ce matin. Vous semblez blessés, je vais examiner vos blessures et je vous veillerai cette nuit. Si cela peut vous rassurer, je vous confie mon arc en guise de bonne volonté. Demain, je reprendrai la route avec vous si vous le voulez bien. »

Après avoir échanger quelques mots, le groupe, épuisé, retourne dormir. La nuit retrouve son calme naturel entrecoupé des bruits de la forêt.


Chapitre 3: Un ours affamé c'est un cheval éventré.

Le sang. L'odeur du sang et des entrailles au petit matin retournerais bien des estomac. Mais pas celui de Barnabé, l'ours. Barnabé a faim et rien ne pourrait lui faire sortir cette idée de la tête. C'est pour cette raison que le cousin Valdemar et Gottfried se retrouve les mains ensanglantées, de la tripaille plein les mains, pataugeant joyeusement dans le ventre d'un cheval. On découpe, on dépèce, on écorche et on donne une cuisse à l'ours qui en grogne de satisfaction.

A peine le temps de préparer les affaires ainsi qu'un feu pour préparer un peu de bifteck de cheval, que le groupe se trouve dérangé par l'apparition d'un (autre) ours sauvage affamé, attiré par l'odeur de cadavre et de viande rôtie.

C'est donc une nouvelle fois que le groupe reprend la route. Le voyage n'en fini pas, la fatigue se fait de plus en plus pesante, de plus en plus pénible à supporter. L'elfe tente, tant bien que mal, de se reposer sur son cheval: sans grand succès. La journée se passe sans grand événement que la rencontre avec un étrange individu fumant la pipe avec qui ils échangent quelques mots.

Et c'est avec un soulagement à peine dissimulé que ces aventuriers arrive en vue d'une auberge accueillante, où ils espèrent bien pouvoir se restaurer, se laver et prendre du repos.
L'idée de se retrouver dans un lit confortable, au chaud, avec un bon bol de soupe dans une auberge pleine d'humains n'enchantant pas Fargoth, celui-ci décide de passer sa nuit au sommet d'un jeune chêne qui borde la forêt. Il s'installe difficilement mais s'endort bien vite, gagné par la fatigue accumulée après une journée de chasse, une nuit blanche et une journée de voyage à cheval.

Un bain et dîner plus tard, Gottfried se repose. Tenant précieusement le coffre confié par son maître pendant que monsieur Rudiger prend son bain à l'extérieur en compagnie de dame Théodora. Il somnole, exténué. Soudain, il se redresse, horrifié, comme s'il avait vu un fantôme. Il se lève et se dirige lentement vers la porte. Pâle comme la mort, il annonce à Rudiger:

« Je suis fatigué, je pense que je vais aller me coucher »

« Très bien, dépose le coffre dans ma chambre »

Il monte et s'avance vers la porte mais constate qu'il ne possède pas la clef. Qu'importe, il se rend à sa chambre, le coffre sous le bras. Un cliquetis plus tard , la porte est verrouillée.

Plus tard, Rudiger retourne à sa chambre, l'air ravi, après avoir passé une agréable soirée en galante compagnie.
Il sort de sa poche , l'UNIQUE clef de sa chambre, déverrouille et entre . Quelle ne fut pas sa surprise lorsque qu'il constata que le coffre ne s'y trouvait pas.

Chapitre 4: Seul contre tous

Des coups. Des coups répétitifs, prononcés, appuyés. Puis, le silence. Gottfried repose son épée au sol ainsi que le cadenas dont il vient de venir à bout. Fébrile et terrifié, il soulève doucement le couvercle et regarde à l'intérieur.
Une boule, une boule de pierre grise, lisse, légèrement craquelée repose sur un petit coussin de satin épousant parfaitement le fond du coffre. Intrigué, il décide de s'en emparer et, voyant qu'il ne se passe rien, commence à l'examiner. Soudain, on frappe à la porte.

« Gottfried, tu es là ? Tu as le coffre ? »

« Une seconde, j’arrive !!!» répond le régisseur paniqué, tout en tentant de trouver désespérément une cachette. Il décide finalement de le dissimuler sous d’épaisses couvertures dans l’armoire.

La porte s’entrouvre et laisse apparaitre le visage blafard et suant de Gottfried.

« Tout va bien ? Où se trouve le coffre ? »

« Ah, parlons-en du coffre ! Entrez, monsieur.»

Rudiger a à peine le temps de rentrer qu’il constate le cadenas cassé au sol puis Gottfried envoie par terre le coffre qui s’ouvre, brutalement sous le choc. Il est vide.

« J’ai ouvert le coffre. Oui, j’ai désobéi, j’en suis désolé mais je voulais savoir pourquoi nous nous battions, pourquoi nous avons failli mourir alors que Monsieur votre père est en danger !!!! »

Attirés par les cris, Théa et Valdemar rejoigne la chambre et ne peuvent que constater.

« Jure-nous que ce coffre était vide. »demande Théa, plongeant son regard de prédatrice dans les yeux de l’intendant.

L’intendant, trop fier pour admettre sa terreur, n’accepte pas de se rétracter :

« Absolument, je l’ai ouvert et il était vide. Je ne sais pas ce que mon maître voulait que nous fassions. Peut-être lui-même ne savais pas ce que contenait ce coffre. (en s’’adressant à Rudiger) Je vous en conjure, rentrons pour nous assurer que Monsieur votre père va bien, Monsieur votre frère est prêt à tout. Laissons de côté ce coffre vide. »
« Vous mentez !! »

Pendant ce temps, Valdemar fouille consciencieusement la pièce ; passant en revue tout les détails. Mais lorsqu’il entreprend d’ouvrir l’armoire, Gottfried, perdant complètement ses moyens face aux nombreux regards accusateurs portés sur lui, s’énerve et repousse Valdemar:

« Sortez ! Vous n’avez rien à faire ici! Cela ne concerne que Monsieur Rudiger et moi-même !!! »

S’ensuit une situation périlleuse et explosive où Théa se demande s’il faut vraiment laisser la vie à cet imposteur. Mais Rudiger calme rapidement la situation en annonçant qu’il vaut mieux régler cette affaire plus tard après s’être reposé. Tous accepte et quitte la chambre, non sans avoir jeté un dernier regard plein de mépris à l’intendant.

« Bonne nuit Gottfried.» ajoute Rudiger, avant de quitter à son tour la chambre.

Gottfried se retrouve seul avec lui-même, se demandant si son choix est vraiment le bon. Il sort une dernière fois la mystérieuse sphère et décide de la placer sur l’armoire. Si quelqu’un d’autre que lui venait à la découvrir, les conséquences pourraient être catastrophiques.

Chapitre 5 : Mensonge, trahison et mauvaise nouvelle (eh ben)

Au petit matin, un elfe tombe lourdement de son arbre.

Gottfried descend les escaliers afin de rejoindre les autres pour le petit déjeuner. L’esprit encore embrumé par d’affreux cauchemars, il se demande dans quel état d’esprit se trouvent ses compagnons vis-à-vis de lui après leur dispute d’hier soir.
Il les trouve tous autour d’une table.

« Ah ! Te voilà Gottfried ! »s’exclame Théa en le voyant, « Viens, assied toi et mange un peu, tu en aura besoin ! »

Bienheureux que le dialogue puisse être rétabli il s’assoie, commence à manger et à discuter sans s’apercevoir que Rudiger s’était déjà levé et se glisse à l’étage.
Soudain, on attend un fracas. Gottfried réalise tout de suite que la porte de sa chambre vient d’être défoncée. Il tente de se relever, paniqué, mais Théa et Valdemar le saisissent brutalement et l’asseye de force.

« Boit ton lait. » dit simplement Théa.

Gottfried se met à se débattre et, s’apercevant que c’était peine perdu, à paniquer :

« LAISSER MOI PARTIR !! IL FAUT QUE JE MONTE…LACHOSE…LA HAUT….C’EST DANGEREUX !!!... »

« Un problème ? » demande l’aubergiste en sortant une épée, l’air menaçant.

« AU SECOURS ! AIDEZ-MOI A ME LIBERER !..... CES GENS ESSAYENT DE ME VOLER !!! »

En entendant, ces mots Théa et Valdemar relâche leur prise. Théa est rouge de colère. Gottfried en profite pour s’échapper à l’étage, réalisant soudain qu’il est allé trop loin cette fois-ci, mais pour lui c’est un cas de force majeur.

« COMMENT OSE-T-IL NOUS INSULTER !!!!!? NOUS AVONS ETE CHARGER DE LE PROTEGER ET CE FILS DE CHIEN NOUS MENT ET NOUS INSULTE DE SURCROIT !!!!!! JE VAIS ME…TE…LE …. »

Les cris et la rage de Théa et de Valdemar s’éloigne tandis que Gottfried rejoint sa chambre, suant toute les gouttes de son corps. Pendant ce temps, Valdemar et Théa prennent la suite de celui qu’ils appellent maintenant « le sale vilain de félon de gredin des basses-fosses ».

Au moment où Gottfried arrive, il est déjà trop tard. Debout sur la table, au milieu d’une chambre aux meubles retournés, Rudiger contemple l’objet du mensonge de l’homme envers lequel il avait le plus confiance. N’écoutant pas les supplications et les excuses de son protecteur, il s’empare du coussin, le globe reposant dessus. Il se retourne et le place doucement dans le coffre avant de le refermer.

« Je ne veux aucun commentaires. Il est inutile d’en dire plus. »

« Je suis désolé, Monsieur,… il le fallait….cette chose….cette chose est maléfique…je ne voulais pas qu’elle vous atteigne….je ne voulais pas vous mentir…..nous n’aurions eu que des ennuis avec ce coffre….je veux préserver votre honneur et votre vie….laissons cette chose en arrière, je vous en prie »sanglotte Gottfried.

Pendant ce temps, l’elfe, rétabli de sa lourde chute aperçoit un inquiétant spectacle. Un nuage de poussière approche de l’auberge.

« DES HOMMES EN ARMES ARRIVENT !!! » hurle-t-il pour prévenir ses compagnons à l’intérieur.

Alerté par cela, le petit groupe regarde par la fenêtre et identifie des cavaliers, des gardes portant le blason de la famille Rosencrantz.

Les gardes mettent pied à terre et entre dans l’auberge. Sauf un garde resté à l’écart qui, apercevant l’elfe, commence à avancer vers lui, lame sortie. Mal lui en a pris, car il se retrouve bien vite cloué à la porte de l’auberge, une flèche elfique entre les yeux.

Pendant ce temps, c’est la consternation. Le commandant du groupe de gardes annonce sombrement à Rudiger que son père, le seigneur Siegfried Rosencrantz, viens de mourir de manière plus que suspecte. Ils ont dû s’enfuir afin de le lui annoncer car ils ont refusé de prêter allégeance au nouveau seigneur du domaine, Dieter Rosencrantz. Après une sobre cérémonie de recueillement où les gardes rendirent l’épée de Siegfried en signe d’adieu, les gardes repartent.

« ALERTE !! NOUS SOMMES ATTAQUES !!!! » s’écrient les gardent en découvrant le cadavre accroché à la porte.

Rudiger s’empresse de donner ses directives :
« Restez là, barricadez toutes les issus !! Nous passons par l’arrière ! Cette flèche appartient à un elfe qui à fait la route avec nous, c’était un traître !!! Méfiez-vous il est dangereux !! Nous vous préviendrons pour que vous puissiez nous couvrir !! »

L’elfe observe la scène. Le groupe, qui l’avait précédemment accueilli, prenant la poudre d’escampette, Barnabé sur leurs talons. Théa l’apercevant et s’écriant à l’adresse des gardes :
« IL EST LA !!! IL EST LA !!! COUVREZ NOUS !!! »

Les gardes se précipitent alors, et prennent Fargoth en chasse dans la forêt, le groupe s’éloignant déjà à vive allure. (C’est ainsi que les ennuis vont commencer).

Bien plus tard, le groupe prend un peu de repos et l’on en vient aux explications. Valdemar va soutenir Rudiger après l’écrasante nouvelle de la mort de son père, Gottfried discute avec Théa de l’attitude honteuse et odieuse qu’il a eue envers tous le monde. Des excuses sont données, des larmes sont versées et notre groupe, en marche vers une réconciliation future, reprend péniblement sa route vers de nouvelles aventures.

La suite bientôt.

Résumé de l'Épisode 3

Citation :

Le voyage continue…
Ils avaient été trahis par un elfe fuillard, mais aussi et surtout par un homme de confiance qui lui les accompagne toujours. Le voyage se passa ainsi, dans une gène silencieuse, durant trois semaines. Ils parlaient peu, et n’avaient pas fait beaucoup de rencontres, mis à part un chirurgien barbier qui s’occupa de leurs blessures(et pris leur or) et quelques aubergistes(qui prirent aussi leur or…). La route était difficile, et les pertes financières risquaient de devenir plus importants que les gains pour Théodora et Valdemar. Mais leur voyage est loin de s’arréter ici… même si c’est ce qu’ils espéraient en arrivant en vue de Kargoun.

Kargoun, le but de Rudiguer. C’était une petite ville, très petite…ou peut-être un grand village. On y voit tout juste des habitations, une seule auberge, et un temple.
Extenués et désespérés par une longue route et la douleur des événements, Rudiguer va trouver l’unique auberge de la bourgade, et après avoir obtenu une chambre par le tenancier peu locace laisse s’échapper ses pleures dans la pièce vide…
Ses compagnons, tout aussi affectés par les évenements, considèrent plus urgent d’en appeler à l’aide des dieux et vont prier au temple pour prier Sigmar d’épargner ceux qu’ils aiment.
Le temple de Sigmar, à peine plus grand qu’une maison, mais abritant un grand espoir :
Un vieux prêtre nain, Imrak, et son jeune apprenti, Anna, qui n’a pas fini de subir des railleries pour son nom…
La ferveur des prières rapprochent le futur prêtre de ces voyageurs égarés, notemment de Gottfried qui, généreux fait sa connaisance en l’aidant dans ses corvées de nettoyage, rendues nécessaires par Barnabé…
Tout le groupe ayant rejoind l’auberge, après quelques discutions et avoir éponger le sang que Valdemar avait perdu à un jeu d’adresse avec l’ aubergiste, tous prennent une chambre. Par chance le petit bâtiment a juste assez de pièces pour accueillir chacun des quatre voyageurs.
Ils passent une nuit reposante… bien qu’une suspicion inexpliquée envahisse tout les rêves…

On entend du bruit dans l’auberge .
Des coups raisonnent. Tous se lèvent croyant à un combat… et trouvent l’étrangé à la pipe, croisé si souvent que Théa le prendrait presque pour un compagnon de voyage .
Il tient deux pièces d’or gagnées contre l’aubergiste si habile de ses mains, et si peu de sa langue.
Non seulement il n’y a aucun danger mais, en galant homme, l’étranger offre un repas à ses nouveaux compagnons avant de monter vers les chambres.
Pendant que Valdemar et Gottfried finissent leur déjeuner , Théodora et Rudiger parlent dehors. Il est toujours plein de peine et de haine, elle essaie de calmer son cœur, et l’étranger soutient que la vengence n’ets pas une solution penché à la fenêtre d’une chambre…mais il n’a rien à faire dans cette conversation ! Les deux jeunes gens le lui reproche et rentrent, dérangés dans une conversation intime.
Au fait, combien y a-t-il de chambres déjà ?

Quelques instants plus tard, dans l’indifférence , une corde de drads sort de la fenêtre. Anna qui n’ets pas très loin en voie dessendre un homme avec un coffret…mais l’apprenti prêtre, plus soucieux de sa sécurité que des beins matériels d’autrui, reste silencieux.
Et c’est ainsi que, sans aucune opposition, s’échappe l’objet de la dernière volonté d’un ancien héros…

Mais voyant la corde tous paniquent.
Gottfried saute sur son cheval, emportant le pauvre témoin comme guide bien malgré lui.
Théodora le suie la trace du voleur aussi vite qu’elle le peut accompagné de son ours, alors que Valdemar et Rudiguer sellent leurs cheveux avant de rejoindre la chasse l’arme à la main.
Gottfried talonne le bandit.
Et il fait face à une inquiétante surprise : une flamme apparaît dans la main de l’étranger qui menace de la lancer sur son poursuivant. Le régisseur abandonne la poursuite et est rejoind par les retardataires.
Il est bien trop dangereux de s’attaquer à un magicien. C’était la pensée de tout le monde...du moins avant que la flamme soit décrite à la batteleuse et son cousin.
Les flammes ne sont pas le propre des sorciers.
Les saltimbanquent conaissent bien les moyens de les manipuler de façon spectaculaire, et surtout sans danger pour eux et leur publique.

Maintenant complétement privée du coffret, la seule personne à pouvoir les aider est son destinataire : Ogrim, le vieil ami de Siegfried.
Anna, malgré le traitement que lui a infligé Gottfried, décida d’aider le groupe désespéré à retrouver Ogrim. Il les conduisit à son maître qui vivait déjà à Kargoun avant sa naissance : si Ogrim a vécu ici il le connaît.
Mais à la grande surprise de tous, il nie avoir jamais entendu parler de cet homme, un air troublé sur son vieux visage. Mais Théodora a l’habitude des artifices, elle voit que ce vieux nain qui devient sénil n’est autre que le but de leur mission : Ogrim.
Après que Théa lui ai parlé et que Valdemar lui rappel son amitié avec le brave Sigfried Rosencrantz, Ogrim accepta enfin de parler à son héritier. Ils discutèrent ainsi longuement, avec Anna pour seul témoin.

Alors que, mis à l’écart, Gottfried se rendi compte que la rancune dûe à sa traîtrise était loin d’être oubliée : Théodora et Valdemar lui rappellent ses mensonges et ses cernes matinales…il ne sait toujours que répondre…

Après une discution pleine de révélations pour Rudiguer, Ogrim , trop vieux pour partir en voyage, décida d’envoyer son jeune apprenti. Désormais Anna serait le compagnon des voyageurs.
Ils partirent alors, plus nombreux, à la recherche de l’objet qu’ils avaient perdu : un objet au pouvoir terriblement dangereux d’après le vieux nain.
Il n’y avait qu’une seule piste à suivre : dans la dierction empruntée par le voleur il n’y avait qu’une seule ville proche, à une journée de voyage (relativement proche…), et la route y mène directement.
C’était une grande ville (en tout cas quand on sort de Kargoun), et il était plus que probable que l’homme à la pipe s’y soit arrété et ait fait expertiser sa nouvelle acquisition.
Les gardes à l’entrée avaient vu le fugitif et ont pu indiquer la boutique à laquelle ilse rendait : il cherchait un mage…
Pendant que Théa, escortée par Valdemar reconverti en nourrice d’ours, profitait de la forte affluences de population pour gagner de quoi nourrir Barnabé en présentant quelques spectacles de rue, le duo aristocrate alla à la rencontre du mage pour enquéter ,malgré les inquiétudes de Théa qui ne les croyait pas capable de reconnaître un jeune saltimbanque sentant la pipe déguisé en vieillard d’un magicien (mais ils ne sont pas au courant de ça…).

Le magicien, très âgée et à peine capable de bouger, les acueilli dans sa boutique mais dit ne pas avoir réussi à examiner l’objet du voyageur et ne pas savoir où il était allé. Ils repartent alors bredouilles.
Le groupe réuni, les compagnons ne savent plus ou chercher…quand Gottfried et Théa se souviennent qu’il faut plusieurs jours pour expertiser un objet magique. Le magicien a menti !
En enquétant auprés des mendiants, ils apprennent alors que ce vieil homme proche de la mort courait après les vagabonds… encore il y a seulement quelques jours.
Retournant chez le félon, croyant encore à une tromperie du saltimbanque, ils aperçoivent certains effets de la sphère maléfique : la jeunesse du magicien a été anihilée, ou absorbée…
Il dit avoir réussi à l’activer. Et, désignant Gottfried avec un rictus que l’on devinne moqueur malgré la difficulté à s’exprimer nouveau vieillard, l’accuse d’y avoir échouer.
Tous sortent choqués par ces révelations, se demendant où chercher et pressés par le danger que représente l’artefact… tous hormis Gottfried.
Lui sort quelques minutes plus tard, plus troublé encore. En colère même.

Leur route est bien loin de s’arréter ici…
Le voyage continu,
Mais peut-être pas pour tout le monde…

Résumé de l'Épisode 4

Citation :

Résumé Livre Sombre 4:

Leur route est bien loin de s’arréter ici…
Le voyage continu,
Mais peut-être pas pour tout le monde...

C'est même une évidence quand tu entends les pleurs.

Mais revenons là où on les avait quittés.
Dans une petite ville, devant l'échoppe d'un mage qui a laissé sa vie s'écouler tel le sable d'un sablier, tout cela pour percer le mystère de l'orbe.
Là, Rudiger, le jeune noble, deviens de plus en plus pâle, son bras blessé par son frère encore et toujours à vif...
Il tente une fois de plus de garder tête haute, c'est qu'il faut plaire à la donzelle et ne pas se montrer faible pour atteindre son coeur! Mais la douleur est là, les tremblements le prennent et il pose sa main sur l'épaule de celle qu'il veut conquérir, pour avoir juste encore un peu la chaleur de sa peau, et son regard planté dans le sien.
- Théa, je ne vais pas pouvoir continuer ainsi blessé. Je te confie l'orbe et la démarche à suivre. Pourrais je compter sur toi?
Ces mots, ils pourraient presque ressembler à des adieux.
- Bien, j'accepte cette responsabilité. Va et prends repos. On se retrouvera surement à la ville du vieux nain.
Rudiger s'en retourne sans même se douter que ce sont bien des adieux pour un membre du groupe.

Le régisseur, l'intendant, sort alors de l'échoppe du mage.
Théa et Valdemar se retournent et les questions et accusations pleuvent sur Gottfried.
- Qu'avez vous dit là dedans?
- Pourquoi t'a t il dit qu'il avait réussis là où tu avait échoué toute une nuit?
- Pourquoi tu nous a caché l'orbe dans l'auberge?
- Qu'as tu fais de l'orbe toute la nuit?
- Es tu corrompu par cet objet de mort?
Sous les assauts, Gottfried s'enlise, tente de s'expliquer, ne réponds pas parfois, donne une version qui déplait au groupe!
Puis soudain, Théa remarque quelque chose:
du sang sur la main de l'intendant!
- D'où viens ce sang? Qu'as tu fais???
Elle se précipite dans l'échoppe et retrouve le mage vieillard toujours en vie, Sigmar soit loué!
La conversation monte encore d'un ton.
- Qu'est ce sang? Es tu maudit?
- Je jure que le mage c'est écorché la main et a pris la mienne en riant! Je n'en sais pas plus que vous!
- Tu ment!
- Non! Je ne comprends pas pourquoi il a fait cela!
- Il n'a pu faire cela pour rien!

Alors même que le ton monte, voici quelqu'un qui viens dans la rue.
Un invité surprise.
Celui que personne ne pensait revoir.
L'homme au chapeau à plume et à la pipe.
Celui là même qui a volé l'orbe.
Derrière lui, un petit groupe de garde veille.
Tous vont à sa rencontre et les négociations commencent.
Une phrase cependant tombe telle un couperet:
Le jeune apprenti prêtre dit à l'homme
- Alors ça n'était pas une coutume pour vous que de descendre d'une fenetre d'auberge avec des draps en corde?
L'homme de répondre
- Alors tu n'était pas le balayeur du village?
Ainsi donc le mioche a vu l'homme voler l'orbe et n'a rien dit.......
Enfin, après des négociations tendues, deux chevaux sont échangés contre l'orbe.
Elle était toujours chez le mage. Et quand Valdemar et Théa rentrent, c'est pour trouver l'homme mort de vieillesse...
Ils récupèrent l'orbe dans une salle au fond, choqués de la puissance de cet objet qui a su voler la vie d'un homme en une nuit.
- Où aller maintenant?
- Retournons voir le nain, lui saura.

Les voila repartis sans Rudiger.
Elle, la montreuse d'ours et Barnabé, son fidèle ours avec qui elle a grandi.
Gottfried, épuisé moralement de toutes ces suspicions.
Valdemar, bienveillant ange gardien armé.
Et le jeune apprenti du nain.

Ils arrivent à la ville où ils s'étaient fait voler l'orbe, mais pour plus de sureté maintenant, Théa la transporte et la confie à son Ours la nuit.
Le voyage c'est bien passé, à part le matin où ils ont croisé des voleurs de grand chemin, mais le butin volé ne fut pas énorme, en tout cas pas pour Valdemar et Théa, qui ne furent eux même pas raquétés.
Par contre, ceux qui firent un peu plus les malins, Gottfried par exemple, il en fut quitte pour un vilain coup de hache et avec l'apprenti, manquèrent de peu de se faire percer par une flèche.

Retour au Temple, face au nain.
Une fois de plus, le couperet tombe:
- Maitre, dit l'apprenti, nous voila de retour avec l'orbe!
- Ne t'avais je pas dit de l'amener dans le marais?
- Heu...Si...Heu... Je n'ai pas trés bien comprit maitre!
- Amènes cet objet de malheur dans le marais au Sud! Repose le là où nous l'avons trouvé, au centre du marais. Tu reconnaitra le lieu. Va. Tu va mourir pour la bonne cause. Mais Sigmar te recevra. Pars vite maintenant. Je vais prier pour ton âme et je porterais ton deuil. Adieu!
Théa est fatiguée. Entre un qui ment, et l'autre qui oublie tout, elle se sent bien mal accompagnée pour une quête si importante.
Alors, elle explose d'une de ses fameuse colère!
- Pourquoi? Pourquoi devrais je sauver l'Empire?? Pourquoi devrais-je assumer et réparer les erreurs de deux vieux fous? Qu'a t il fait l'Empire quand ma famille a été accusée d'hérésie? Qu'a t il fait pour moi quand ma mére et mes soeurs étaient sous le joug du bourreau? Cette orbe peu détruire l'Empire? Mais si je la détruit, va t on me rendre ceux que j'ai perdu? Je ne veut pas mourir pour une cause qui n'est pas la mienne!
L'apprenti de Sigmar alors s'élève. Il parle de lâcheté et de courage, de devoir et mise à l'épreuve de la foi.
Théa se souviens alors de la demande de Rudiger. Elle prends quelques minutes de reflexion.
Valdemar fait entendre que la mission était d'amener l'orbe à Aurgrim. Ce qui est fait. Maintenant, leur décision, à lui et la cousine, ça ne sera que selon leur volonté à tout deux.
Ils réflechissent.
Théa regarde son ours, la brave bête lui remonte le moral.
Elle se lève et dit:
- Allons y. Partons à ce fichu marais. Que sais tu apprenti sur ce lieu?
- Il est infesté de trolls d'eau.
- Alors nous risquons de ne pas en revenir. Partons.


Aprés une semaine de voyage, le marais se présente.
L'humidité est constante, la végétation morte et l'air difficile à respirer.
Une brume verte et épaisse plane sur un paysage désolé, fait de tourbières, d'arbres morts, et de puanteurs en décomposition.
Chaque pas est une lutte pour avancer et ne pas s'enfoncer.
Chaque respiration est un peu plus de la noirceur des lieux qui se distille tel un poison dans le coeur et l'âme.
Impossible de se repérer tant la brume est épaisse.
A la fin du premier jour, la seule chose qui fera sourire le groupe, c'est le fait soulevé par Théa:
- Y'a pas d'arbres pour attacher Barnabé! On va devoir dormir à porté de ses 350 kilos au moins, et de ses rêves mouvementés.....
Un campement de fortune est monté, avec un petit feu.
Théa s'éloigne de quelques pas sur le petit bout de sol sec qu'ils ont trouvés.
Une première nuit sans encombre se passe.
Même Barnabé dans ce lieu hostile reste sage, et Théa dort bien au chaud, lovée tout contre sa fourrure et sa présence rassurante.
Le lendemain, même ambiance, même humidité, même puanteur, et la fatigue en plus, et le moral en moins.
Quand arrive le soir, le doute s'insinue.
- Personne ne peut vivre en ces lieux. Ton maitre ne nous aurait-il pas envoyé à la mort? Pour nous perdre en ce marais maudit avec notre objet maudit?
- Non, jamais il ne ferait cela!
La seconde nuit commence telle la première.
Mais.
Mais des pas faisant trembler le sol réveillent le groupe.
Mais un hurlement ,si terrifiant que même l'ours s'en pisse dessus, déchire la nuit!
Le feu s'éteint, tous tentent de bouger le plus discrètement possible dans l'obscurité la plus compléte, suivant l'ours qui veut fuir la chose qu'il a senti.
Trop tard.
Ils sont pris en chasse.
Le temps d'allumer un peu d'huile et celui qui fermait la marche, le jeune apprenti, disparait de leur vue dans un grand vacarme!
Il est balayé telle une poupée de chiffon!
Là, ils voient la bête.
Le monstre.
Le troll des eaux.
Une gueule énorme remplie de dents, un corps difforme et puissant, mesurant au moins 3 mètres, des griffes énormes et un arbre mort en guise d'arme!
Théa s'éloigne avec Barnabé pour se mettre à l'abri avec l'orbe.
Valdemar fait face avec Gottfried.
Le combat s'engage face à la bête affamée!
Les coups pleuvent, mais la chose se régénère!
Le combat n'est pas équitable. Le cuir du troll est difficile à percer, il se régénère et en plus, sa vie dans l'eau le rends humide et intouchable avec le feu!
Alors que tous plient sous les coups du monstre enragé, seul le jeune apprenti ne fait rien et prie.
Alors que Valdemar se fait sonner et que l'immonde s'attaque à Gottfried, voici le combattant que personne n'aurait cru voir.
Barnabé.
L'ours, vaillant, sentant le danger, voyant le groupe se battre, fonce sur le troll.
Il se jette sur lui, le pauvre ours de foire, mais sauve ainsi la vie de Gottfried, évitant un assaut qui aurait dû être fatal.
L'animal et le troll s'empoignent, se déchirent, et rapidement, Barnabé ploit sous les coups des griffes acérées du troll.
L'ours hurle de douleur et saigne abondamment.
Théodora fonce alors, désespérée!
Elle abat son épée sur le troll en hurlant, en suppliant:
- Lache le!! Laisse mon ours! Lache le! Pitié!
L'ours est mourant, mais Théa est prête à mourir pour sauver celui avec qui elle a vécu ses 23 années.
Elle ne voit même pas que leur seul moyen de survivre, c'est de sacrifier son animal.
Elle ne voit même pas Gottfried lancer sa flasque d'huile sur la seule chose qui peut prendre feu: la fourrure de Barnabé.
Cette fourrure dans laquelle elle dormait en toute tranquillité.
Voila que Barnabé s'embrase et ses hurlements couvrent presque ceux de Théa.
Des hurlements de douleurs mélés a des hurlements de désespoirs.
Valdemar est obligé d'emporter sa cousine de force tant elle refuse d'abandonner son Barnabé.
Au final, tous s'éloignent.
Les cris de Théa s'arrêtent quand ceux de Barnabé s'effacent aussi.
Alors la douleur et la violence s'abattent.
Théa, inconsolable explose.
Elle se retourne vers l'apprenti et hurle dans ses larmes:
- Est ce assez pour ton Dieu comme épreuve? A t il eu suffisamment de sang pour aujourd'hui? L'Empire est il repus? Où est ta lumière ici? Où est ton Dieu quand mon animal meurt?
Finalement, il ne reste que les pleurs.
Théa alors décide d'arreter là.
Et valdemar aussi.
Ils sortent l'orbe et la lance dans le marais, et ils finissent par s'écrouler, dans l'inconscience.

Le lendemain, Théa et Val veulent rentrer.
- En route! Lance le guerrier
- Attends, je veut être sure que Gottfriedne va pas récupérer l'orbe.
A peine la phrase terminée que tous voient Gottfried tenter de se baisser discrétement dans le brouillard et ramasser l'orbe.
Théa dégaine une de ses dague de lancer et sans la moindre hésitation, elle tire.
Précise, comme d'habitude, c'est le bras gauche de l'intendant qui se fait clouer.
Cette fois ci, il le sait, elle n'hésitera plus à le tuer.
L'apprenti viens alors calme les choses.
Il prends l'orbe et dit:
- Je continuerais seul. J'ai une mission, remettre l'orbe au centre du marais, et quitte à mourir, je le ferais.
- Une seule et dernière journée. Où que cela nous mène, je continuerais une seule et dernière journée, et je jetterais l'orbe où nous serons ce soir, si mon cousin est d'accord.
Bien sûr Val est d'accord. Il ne va pas abandonner la seule famille qui lui reste.


Ils marchent tous une dernière journée, dans un silence ponctué par les pleurs de Théa qui n'a toujours pas eu le courage de jetter les affaires de Barnabé.
Et à la fin de la journée, ils arrivent là où ils n'auraient jamais cru arriver.
Dans une foret.
A l'autre bout du marais.
Ils l'ont traversé.
Et il n'y avait rien au milieu, a part une mort certaine.
Le prêtre a menti. Il voulait se débarrasser de l'objet et les envoyer à la mort avec.
Dépité, le groupe se demande.
Creuser, enterrer l'objet ici?
Rapporter l'orbe en un lieu où elle ne tombera pas en de mauvaises mains?
Mais où?
Dans Aldorf, la capitale de l'empereur, lieu imprenable?
Dans le marais de nouveau?
Non.
Maintenant, la colère prends le dessus?
Seul Gottfried veut se débarrasser de l'orbe.
Mais Théa et Valdemar veulent régler des comptes.
Alors ils décident de retourner voir le nain avec l'orbe.
Le trajet reste dans le silence, entrecoupé parfois des pleurs de Théa qui ne se résout toujours pas à jeter les affaires de son ours qui est mort pour.....rien.

Résumé de l'Épisode 5

Citation :

Un soir d'été , un noble se retrouve perdue. ses compagnon sont partie accomplir une tache primordiale et lui même a du lutter pour survivre a une terrible blessure. Il est déboussolé ;beaucoup de chose se sont passé, des choses horribles qui ferait perdre la tête a plus d'un. Cela fait bien trois semaines que ses compagnons sont partis ; sa blessure est guérie et il attend patiemment le moment ou il pourra les retrouvé. Il a eu le temps de mettre de l'ordre dans ses idée et peut maintenant a nouveau être lui même. Les rares entretiens avec Urgrim ne se solde que part des avertissements singlants de la part du jeune noble ; quelque chose ne lui plait pas et l'inquiete.

Vient enfin le jour ou, du haut d'une colline de la petite ville ( ou du grand village cela dépend ... ), il les aperçois ... mais pas comme il l'espérait. Partie a cinq avec deux chevaux et en relative bonne santé, rudiger retrouve ses compagnons a trois , sans chevaux , sans l'initié et très blessé. Se précipitant vers eux il reçoit les complaintes de Goetfried et les visages assombris de Téah et de Valdemare. Il ne se l'explique pas mais il ressent un étrange malaise. ET soudain tout devient clair: Barnabé est absent......

Soulevant a demi mots la question , il n'a que pour réponses les sanglots de Téah et la consternations Valdemare . En les accompagnant a l'auberge Rudiger comprend une derniere chose. En voyant Téah faire face a la mort de son ours adoré avec courage il se rend compte que regarder vers le passé ne sert rien ; il faut protéger son futur et ceux qui le constitueront.

Apres une courte collation une discussion commence au premiere etage entre Rudiger et son régisseur . Il est question de l'orbe bien sur, ainsi que de son fonctionnement. il est question d'un rapport avec le sang. Quoi qu'il en soit il faut aller voir Urgrim puisque le marais; destination de ses compagnons n'avait été apparemment qu'une fausse piste destiné a les tués.

Soudain un bruit étrange retenti en bas . Se précipitant rudigerne voit plus Téah . Il sort rejoint bientôt par valdemare et Gotfried, ais aucune trace de Téah. La place remplie de paysans se qui rend difficile la perception des bruits, mais malgré ça Gotfried entend un cri provenant du temple de Sigmar . Rudiger se précipite vers le temple ou Téah est peut être en danger. La porte s'ouvre avec violence laissant place a une scène horrifiante.

Téah est allongé sur le sol, le visage ensanglanté a moitié inconsciente. Au dessus d'elle est penché Urgrim, le vieux nain est en train de la rouée de coup. Valdemare est le premier a réagir et s'élance avec une rapidité foudroyante vers le nain. Il arme son poing et envoie une coup monumental au vieux nain aveugle qui le reçoit de plein fouet. Le choc , extrêmement brutal fait lâcher prise le nain qui recule de plusieurs mètre. Rudiger arrive dans le combat a sont tour; ce pendant il manque de stabilité sur le sol encombré de banc et de chaises et il a juste le temps voir Goetfried mètre Téah a l'abri . La suite se déroule a toute vitesse : des coups échanges avec violence des deux cotés et d'un coup le vieux nain et a terre immobile. Tout ce que le jeune noble retient c'est que sa lame est planté dans sa gorge et que la dague de son intendant totalement hors de lui est planté dans sa bouche et se tourne lentement.

Le calme laisse place peu a peu au tumulte mais un cri de femme vient heurter notre groupe . un des villageois a vus la scène et s'en va alerter la milice. le groupe est contraint de fuir pour sa survie. Délaissant Kargun il rebrousse chemin et se tient éloigne de la route , préférant éviter tous risque . Le voyage est long difficile et silencieu. Aprés une petite semaine de voyage dans les abords de la foret ; Le jeune noble et ses compagnons arrivent dans un petit hameau perdue. Est il dangereux ? est ce une bonne idée de demander de l'aide d'une personne dont on ne connait rien? La n'est pas la question Téah et Goetfried ont besoin de soin

Se précipitant vers la première maison Gotfried et le groupe y découvre une ferme tenue par une paysanne au charme saisissant et Rudiger voit clairement son régisseur subjuguer par cette beauté aussi saisissante qu'inatendue.Et c'est ainsi que le groupe se voit soigner et offrir l'hospitalité , le gite et le couvert. Parmi tous ces événements Rudiger se voit soulagé. Téah va mieux. Le hasard les fait se retrouvé Lui et elle le Lendemain matin prés de la rivierre . La discussion qu'il ont est brève mais d'une grande intensité,et pour la première fois Le jeune noble comprend pourquoi son comportement a changé depuis qu'il la connue....

Ce même matin a la surprise du jeune noble. L'ensemble du groupe choisit de se reposer quelques jours chez la paysanne dénommée alexa. le séjour se passa sans encombre . Toue le monde s'affaire aux taches courantes de la maison, sauf Rudiger qui éprouve a nouveau cet étrange malaise. Pourquoi cette fille qui ne nous connait que depuis quelques jours, se démene corps et âmes pour les aider? Ses sourires sont trop nombreux , trop répétés; tous semble trop ..... parfait .

La semaine se passe et le groupe quitte Le petit hameau . il voyage vers leur point de part : notre jeune noble bien décidé a reprendre ce dont il a été dépossédé par son frère Dieter. Le soir une auberge est en vue , rituel que le groupe commence a bien connaitre. Le repas est donné et les conversations sont pesantes. Il y est question de stratégies et d'infiltration. Tous y participent ; Sauf Téah qui se sent entrainé vers la musique, peut être pour se sentir vivante... Apres ce qu'elle a vécu qui pourrait l'en blâmer? C'est ce que rudiger comprend ( un peu tard ) lorsque Téah embrasse l'étranger qui lui a proposé cette danse.

Le calme revient et nos héros partent se reposer , Téah et Gotfried dans les chambres , Rudiger et Valdemare dans le dortoir. Tous s'endorme paisiblement. Cependant au cour de la nuit, Rudiger se réveille prématurément . Il règne dans le dortoir un calme absolue , aucun bruit ne vient troubler ce silence. En pleine nuit cette situation est logique pourtant Rudiger est inquiet , ce malaise qui le poursuit depuis Kargun, ce sentiment que quelque chose ne va pas est revenue.

Le dortoir est sur mais son sentiment s'intensifie a mesure qu'il s'approche de la porte du dortoir. La porte a peine entrebâillée lui confirme soudain la véracité de son effroi et ce qu'il voit est l'horreur incarnée: L'aubergiste est étendue sur une des tables de l'auberge le ventre totalement ouvert en train d'être dévoré par...... Une horreur de la nature, une légende vivante, ..... un Lycan ; mi homme mi loup ;

Claquant la porte rudiger crie pour réveiller Valdemare. Celui ci se réveille et ne trouve pour explication que le jeune noble totalement prêt au combat et dans un état entre la tétanie et l'excitation d'adrénaline. Et soudain la porte S'ouvre et une silhouette entre , et tous se fige devant la créature qui rentre. deux personnes qui dormait la se mette alors a essayer de fuir mais trop tard. a peine le premier geste débuté le lycan déjà sur eux commence son repas macabre laissant juste le temps a valdemare et Rudiger de sortir et de bloquer la porte du dortoir. Rudiger se précipitent réveiller Téah et Goetfried. Téah se précipitent en bas pour aider son cousin rejoint par son danseur d'un soir le dénommé Conrad inquiet pour ses suivants. Rudiger part a la recherche de Gotfried, entendant a peine la porte qui explose et le combat qui commence déjà. l'étage est vide et seul les habits du régisseur sont retrouvé.

Au rez de chaussé le combats fait rage, des bruits d'armes s'entremêlent a des hurlements inhumains. après l'inspection sommaire de l'étage Rudiger se précipitent en bas et découvre Valdemare blessé , une énorme morsure a l'épaule. Sans Hésiter il se jette dans la mêlée et , dégainant son épée décoche un coup terrible au loup garou. Tous ce dont le noble se rappelle c'est sa lame découpant littéralement la créature en deux . Mais a sa grande surprise celle ci se relève et après s'être sortie des dénombres, elle prend la fuite....

comment a t'elle pu survivre a une blessure pareil? est ce que le jeune noble a bien vu la scène ou est ce la peur qui brouille sa mémoire? Qu'en est il de Gotfried ? Comment vont Téah et Valdemare ?

Les questions se bousculent dans les esprits et les réponses seront certainement très dures a accepter.Mais Seul le temps et la force des convictions le dira.

Résumé de l'Épisode 6

Citation :

Les questions se bousculent dans les esprits et les réponses seront certainement très dures a accepter. Mais Seul le temps et la force des convictions le dira.

...

Le lycan viens de fuir par la fenêtre, la nuit est bien avancé et le froid glacial de l'automne s'engouffre par la sorti improvisé de ce monstre.
Téa est la première à réagir, enfin plus un réflexe qu'une action réellement réfléchie, elle va donc placer deux tables et quelques chaises devant la portes et les fenêtres.
Waldemar, son cousin lui souffre en silence , de la morsure de la créature qu'ils viennent d'affronter il y à peu, quand à Rudiger, il est comme cet homme qu'ils viennent de rencontrer, ils regarde un peu interloqué la salle, essaye de réalisé ce qu'il viens de se produire, quel créature surnaturel viennent t'ils de combattent.

Une question leurs viens à l'esprit ... ou est Gotfried ? la réponse de Rudiger fut sans appel ... son intendant à disparue de sa chambre laissant pour seul trace sa chemise déchiré.

Puis Téa commence à essayé de trouvé un moyen pour soigné son cousin, Conrad lui remonte dans sa chambré, quand à Rudiger, il viens assisté nos apprenties médecins.
Après avoir essayé un tison, le groupe se rends à l'évidence ... Waldemar souffre et il est le plus gaillard ... il va donc falloir employé une autre méthode ...alors que Téa reviens avec de l'alcool fort, le jeune noble saisie le cousin de la bateleuse et le maintien fermement. Les seuls bruits qui sortiront de l'auberge pendant la minute qui suivras, est les hurlements de douleurs du robuste combattant.

Conrad reviens dans la pièce principal, équipé pour le combat et prêt à en découdre. Le petit groupe déjà présent l'invite à resté à l'intérieur, que le monstre est peu être toujours là ... Peine perdu, l'homme après avoir découvert deux de ces compagnons morts, sort et commence à hurler sa haine contre l'immondice de la nature que l'on appel "garou".

Ailleurs, il court dans le nuit, découvrant avec étonnement tout cet environnement si diffèrent de ce qu'il à l'habitude de voir ... d'entendre ... de sentir.
Il à les sens exaltés, le désir de crier son bonheur en voyant la lune, mais ce sont bien des hurlements qui sortent de sa gueule.
Il à encore le gout du sang humain sur ces papilles, il chasse ... il vie !

Quelques heures plus tard, un lourd mal de crane force son réveil. Il à froid et un gout ragoutant dans la bouche. Il est nu dans la foret, allongé sur un lit de feuilles mortes alors que le soleil sort à peine de son sommeil.
Les courbatures nombreuses et douloureuses lancent des douleurs aiguës dans le moindres de ces muscles.
A ces pieds, le cadavres d'un lièvre éventré. Les souvenirs de cette nuit sont confuent, cauchemar ou réalité ? le sang sur lui est il celui de l'animal ? ou celui de son compagnon d'arme ?
Tant de questions mais pour le moment aucune réponse ... c'est donc nue et le corps croulant sous la douleur que l'ancien intendant reprends la route, lui qui pour le moment est seul et perdu en pleine foret.

Après quelques temps de marche il retrouveras la route ... et même au loin apercevras l'auberge... c'est le cœur plein de doute et remords, qu'il perçoit que les bribes de souvenirs qu'il à de cette nuit ne sont malheureusement pas des chimères ... il décide donc après avoir grossièrement écrit sur le chemin, à même la terre un "adieu" qu'il décide de retourné au dernier lieu chaleureux qu'il ou il à vécu ... là ou peu être ces questions trouveront réponses, peu être là ou il ne seras plus juger.

Le petit matin c'est également un réveil bien douloureux pour Téa et Waldemar qui se réveillent à même le sol de l'auberge.
Rudiger et Conrad toujours tout deux au aguets veillant sur le sommeil de leurs deux compagnons d'infortune, prêt à défendre leurs vie si la bête venais à revenir ...
Après un bon petit déjeuner et un avis musclé échanger entre nos deux veilleurs de nuit sur le besoin ... ou non ... de devoir tuer tout de suite Waldemar qui risque d'être victime de la malédiction des lycans ...

(suite à suivre)

< lève le doigt:
Moua!! Moua!! J'en suis!! Chuis une héroine!! Chuis même déjà morte si tu veut!!

saluation a toi ô noble premier pj

Je me joint plus que volontier a ces tribulations aventureuses qui meneront ma protagoniste sur les rives de la gloire et de la notoriete...............ou de la honte si je me plante commme une grosse buse ^^

Dis moi kan c kon commence a faire les perso si tu le sais , je suis chaud la .

Alors, monsieur Fragounet, déjà avant l'attribution des joueurs, il faut répondre au questionnaire envoyé par Maydit puis cocher en 1 "Marteau de guerre" (ou warhammer, faut voir ce qu'il à noter).
Si tu est sélectionné pour être joueur à la table du premier joueur déjà tu auras droit à un autographe, parce que j'suis comme ça j'suis généreux avec mes fans ! ensuite pour les heureux gagnants, en ce qui concerne les persos, à voir avec les concernés, j'ai déjà un peu d'idée en ce qui concerne les personnages, mais nous pourrons en discuter directement avant la partie autour d'un bon chocolat chaud, si nous sommes à la même tableux !

le vil mécréant que je suis voudrait aussi trainé ces guêtres avec vous.

Saltation Master
Je viens d'envoyer mes choix a mehdi donc je pense que je serai un de tes fideles pour la deuxieme campagne.
ps : je prend deux sucre dans le chocolat chaud ^^

frag ( laurent ) a écrit:

Saltation Master
Je viens d'envoyer mes choix a mehdi donc je pense que je serai un de tes fideles pour la deuxieme campagne.
ps : je prend deux sucre dans le chocolat chaud ^^

PRÉVISION BIEN PRESOMPTUEUSE. CE QUI EST OPPOSÉ A LA DROITE LIGNE DU PARTI.
METTRE CHOIX 6 POUR LE CAMARADE LAURENT.

Le Sec'Gen.

Sinon, plus sérieusement, savoir le jeu dans lequel on s'inscrit c'est bien, mais le maitre du jeu et sa propre vision du monde qu'il gère est aussi important, nous sommes à moins de 24 heures de la répartitions des tables tout est encore possible, donc pour pouvoir au cas ou aider ceux qui sont encore indécis ou mieux aiguillés ceux qui ont une vagues idées, je vais donc balancé ici quelques petites choses sur ma futur table de warhammer :

Début de la partie :
19h20 (environs)
Fin
2h (environs)

En ce qui me concerne je ne suis pas fan du porte/monstre/trésor si vous aimez ce genre de choses peu être qu'une table de D&D seras plus à votre gout.
Le maitre de jeu n'est pas contre les joueurs, une de ces nombreuses missions c'est d'être là pour garantir le bon déroulement du jeu.
Pour moi le JDR c'est faire du role play ! par exemple les compétences du jeu comme : " baratiner / séduire / mentir " se font en jeu en role play !

Le role play c'est bien !

Le hors jeu à petite dose c'est bien, trop c'est mauvais pour la santé.

Je suis un mauvais mj

Je n'aime pas les elfes

Y à pas de D20 dans Warhammer

Il n'y à pas de camps +10 au jet à Warhammer



Voilà je crois avoir résumé l'idée général ...
J'espère que nous passerons 6 bonnes séances ^^ have fun !

Citation :

En ce qui me concerne je ne suis pas fan du porte/monstre/trésor si vous aimez ce genre de choses peu être qu'une table de D&D seras plus à votre gout.

D&D ne se limite pas à ça

Citation :

D&D ne se limite pas à ça

En effet j'ai oublié un truc : Porte/monstre/trésor/xp ...
Voilà je crois rien avoir oublier ^^


Warhammer power !

J'vais t'en caser moi du Warhammer PMTXP

Citation :

Warhammer MJ : Thibaut
Simon
Kareen
Laurent
Yavin IV
Fred

Coucou les loulous, donc voici notre table.
On le rappel, début le vendredi 13 prochain. J'aimerais également voir les joueurs AVANT le début pour que nous parlions des persos.
On se croiseras demain surement (vendredi 6) pour échange de numéro et prise de rendez vous ^^

cool je serais parmis tes fideles donc et arpenterai avec joie les donjons et dangers de warhammer !!
Ps : je prend toujours deux sucres dans mon chocolat ^^

Moi le chocolat chaud, c'est avec du lait chaud ou rien ! Et sans susucre s'il vous plait !
Sinon, bah j'ai hâte de jouer a Warhammer jamais essayé!

Va en falloir des litres de chocolats pour se remonter le moral, vue ce qu'on va prendre.... Du haut de mon optimisme légendaire, en vérité je vous le dit, on va tous crever.

Background de :

-Laurent et Fred
envoyé par mp en cas on regleras les derniers détails vendredi.

-Kareen
gerer en direct

-Simon
fait par téléphone

-Yavin
On se croise demain au tel ou je te mp ça ou je meurt ou on gére ça vendredi

Peu importe de mourir, seul compte l'instant où l'on vit, car la mort elle est inévitable, d'une manière ou d'une autre. Ça s'applique surtout aux Pj si mes souvenirs sont corrects non? x)

Tout juste Auguste!!

Je suis malade. Désolé mais je viens pas ce soir...

Malade aussi mais je viens quand même.

... heu moi ça va j'suis en forme ...

Et bien merci à mes joueurs pour cette très agréable partie.
Est il possible Sigmund, toi qui maitrise l'art de l'écriture et de notre belle langue, qu'apres chaqu'une de nos séances tu nous gratifi d'un résumé pour nos souvenirs et le plaisir des curieux ?

Résumé de l'Épisode 1

Regardes, là......
Là, c'est où ça commence.
Là, tu vois ce petit hameau sobre avec ces maisonnées entourées de fermes et ces quelques bois?
Et puis ici, en haut de la petite colline, on voit la jolie blondinette qui arrive. Elle a de jolis yeux mauves, mais à l'air épuisée par une longue route. Mais le plus surprenant, c'est l'ours qui l'accompagne, tenu en laisse, et seul héritage restant d'une famille décimée.
Il n'y a plus de troupe, la meute a disparue. L'ours suit désormais "celle qui a la voix haute". Elle lui donne toujours quelque chose quand il fait semblant d'être méchant ou quand il bouge en dansant, alors il la suit.

"Celle qui a la voix haute" se dirige vers une petite baraque mal entretenue.
Vois qui vit ici.
Le cousin de la blondinette. Théodora qu'elle se nomme. Théa qu'on l'appelle.
Lui, c'est le "fils indigne" de la troupe. Celui qui n'a pas suivit une vie d'artiste. Celui qui a déçu les pères.
Si tu le regardes bien, tu vois à ses cicatrices, à son corps musclé, à son regard que lui, il a suivit la voie des armes.
Lui, il a décidé de se reposer un peu dans ce joli village.
Et il est tout surpris de voir la cousine débarquer seule, enfin presque seule. Un bon gros presque, vue la taille de l'ours!!
Tout les deux parlent, et aprés les larmes, finalement, le guerrier Valdemar va devoir s'habituer à une nouvelle présence féminine chez lui.
Et qu'on se le dise, jamais jardin ne fut si tranquille.....
C'est pas tous les jours qu'un ours veille sur le vieux pommier!!!



La belle demeure, au bout du village, tu la vois aussi?
C'est celle d'un ancien héros dit-on.
Il a deux fils cet ancien courageux et intrépide, mais sa douce est morte en couche aprés le second.
Alors là, celui qui ne dit presque jamais rien, qui est brun aux yeux bleus, et qui a cette énorme balafre sur le visage, c'est le plus jeune. Rudiger est son nom.
Quand il te parle, tu comprends vite qu'il se sent mal aimé chez lui. Même que c'est son propre frêre qui lui a fait tel affront sur son visage, lors d'un duel d'entrainement....
On sent bien que c'est tendu dans cette demeure!
L'autre, le bellâtre brun, impeccablement coiffé, taillé comme un Dieu, c'est Dieter. Mais quand tu le regarde dans les yeux, tu vois la soif de pouvoir et le mal qui le ronge!
Et enfin, plus discret, il y a l'intendant de tout cela. De lui, on voit une superbe moustache et un regard pétillant, bien que parfois vacillant, tel les yeux de celui qui a connu l'amour et l'a laissé échapper.




Bon, tu me diras, tu t'en fiche des personnages hein.
Alors passons à l'histoire.

Dans la grande demeure, tu vois, il y a deux beaux elfes qui sont venus.
Ils ont l'air préoccupés, mais fort heureusement, ils sont trés patients.
En effet, une fois leur arrivée annoncée, tout le monde dans la demeure croit que quelqu'un les a reçu.
Les humains communiquent mal.
Personne ne les reçoit.
Sauf un pauvre valet qui n'en finit plus de s'excuser.....
Finalement, aprés une bonne heure d'attente, et un protocole qui n'en finit plus, les elfes arrivent enfin à s'exprimer.
Il y a semble t il, une invasion de peaux vertes anormale dans la région. Suffisamment inquiétante et suffisamment nombreux pour qu'on puisse soupçonner des humains de les avoir aidés à arriver jusqu'en ces terres protégées par l'Empire.
Les elfes ont mis en garde une fois de plus les humains. A eux maintenant de jouer.

L'ancien héros convoque finalement ses deux fils et son intendant.
Écoutes la conversation....
Un des fils doit se porter volontaire pour aller quérir l'aide d'un ami de l'ancien vaillant pour cette histoire de peaux vertes. Un autre ancien vaillant surement.
Le plus jeune fils se porte volontaire, bon débarras selon l'autre bellâtre!
Et l'intendant devra se porter garant de la vie du plus jeune fils.
Mais avant de quitter la pièce, le père donne au jeune un coffret "trés spécial" qu'il ne devra ouvrir sous aucun prétexte et ce qui est dedans restera dedans et ne sera que pour l'autre ancien.
Tu as deviné juste!
Cela attise la jalousie et la curiosité!
Le voyage commencera demain matin, et il faudra être discrets!
Et plus aussi.

Ce matin là, tu vois, le jeune fils et l'intendant viennent demander de l'aide à l'ancien guerrier et du coup, à sa cousine.
Les deux acceptent de bon coeur.
Il faut avouer que depuis quelques jours, l'ours voyait bien que quand on lui donnait des pommes, on les regardait avec envie. Mais il ne s'en est pas inquiété et il a bien raison: qui ôterait la pomme de la gueule de l'ours??


Le groupe s'est mis en marche, à la va vite. Seul le jeune fils, avec le coffret, connait la destination.
Ils font doucement connaissance.
Parfois en parlant un peu, sous le regard inquisiteur du cousin veillant sur sa cousine, parfois juste avec des regards que personne ne voit.

Ils arrivent à la première auberge et mangent.
Regardes!!
Les ombres des hommes armés qui attendent.
Le second fils attaque!
Il a quelques hommes de mains avec lui et ils mettent le feu à l'auberge!
Des combats commencent.
Le jeune seigneur en premier, car il est la cible et a le coffret.
L'intendant vient à son secours.
Puis le spadassin.
Dehors, la montreuse d'ours aussi se bat.
Certains arrivent à s'éloigner du combat. Le jeune seigneur et la donzelle blessée.
Le méchant bellâtre affronte alors le spadassin, le blessant gravement, et laisse l'intendant pour mort, pensant l'avoir égorgé.
Puis il repart, amusé de cette chasse qui commence, devant l'auberge qui flambe et le feu qui tue autant d'innocents!

Le petit groupe se retrouve, tous blessés et effrayés dans la nuit.

Regardes enfin ce que Dieter fait en rentrant chez lui:
Il prends place sur la chaise de son père, et quand l'ancien valeureux viens lui demander des comptes, il sort son mousquet et BANG!
Puis il achève le vieux, son propre père, à coups de dague.
Mais ça, eux, les gentils, les bienveillants, ils ne le savent pas.

Crois moi, ce petit groupe n'a pas finit de devoir fuir!

c 'est un excellent résume que tu a fait la dame Téa.
Je me permet d'ajouter que la mort de mon père sera venger ainsi que les blessure qui t'ont été infligé. Je me ferais la main vengeresse de dieu et j'honorerai mes fidèles compagnons de l'exécution de mon assassin de frère.

Donc, quelques informations et messages en vrac.

1. Joyeux anniverssaire à Laurent

2. Normalement ce soir avec Lou nous trierons un peu ce sujet pour faire du ménage afin d'en amélioré la clarté

3. En ce qui concerne la derniere séance merci aux joueurs d'avoir gérer la partie, j'avais pas mal la tête ailleurs suite à la perte récente d'un proche quelques jours avant

4. Simon si le résumer est sur le fofo aujourd'hui tu gagne un +1

5. Comme déja dit à la table j'aimerais que les joueurs fassent un résumé de chaque séance, avec leurs style, leurs mots, pour notre plaisir et celui des curieux qui viennent ici

6. Toujours en ce qui concerne les résumés je ferais un copier coller pour qu'ils soit aussi visiblent au début de ce sujet

7. Vous allez en chier bande de larves !

8. Messages comme souvent envoyé de mon telephone portable, donc pas de correcteur d'hortographe, donc quelques informations et messages en vrac.